Ayant particulièrement apprécié ma lecture des Chroniques d'Edimbourg, j'avais hâte de me plonger dans le tome 2.
Nous retrouvons ici tous les personnages du 44 Scotland Street qui ont fait le charme du 1er opus : Pat et Bruce, le jeune Bertie et sa mère, Domenica Macdonald, etc. Pourtant, même si la plume de l'auteur continue de me séduire, j'ai été moins enthousiaste pour ce tome-ci.
En effet, il se concentre beaucoup sur le Dr Fairbane, le pédopsychiatre qui suit Bertie et ce n'est pas mon personnage préféré.J'avais beaucoup aimé Pat et sa prise de fonction dans la galerie d'art, ses interactions avec Bruce et ces deux-là sont un peu en arrière plan.
L'humour fait toujours mouche et j'ai franchement ri devant plusieurs passages / situations ce qui est toujours sympa ! Mais le charme a moins opéré.... Je pense cependant lire la suite car c'était très agréable malgré tout.
(Certes, c'est le mois Anglais et Alexander McCall Smith est écossais mais je pense que tout ce qui vient de Grande-Bretagne est accepté !)
Abacus, 2006, 342 p.
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